Le ministre provincial en charge des finances du Haut-Uele,François-Xavier Kubele Nesele a fixé l’opinion sur l’incivisme fiscal décrété par la fédération des entreprises du Congo, FEC et la synergie des sociétés en province du Haut-uele au Nord-est de la République démocratique du Congo.
Ce, après la signature d’un nouveau protocole d’accord inclusif entre le gouvernement provincial et les parties prenantes.
Dans une interview exclusive à la presse le weekend dernier , François- Xavier Kubele Nesele indique que l’heure de l’incivisme fiscal est révolue sur toute l’étendue de la province du Haut-Uele signature du nouveau protocole d’accord entre le gouvernement provincial du Haut Uele, la fédération des entreprises du Congo FEC, la FENAPEC et la société civile autour de la nouvelle taxe spéciale conventionnelle pour la reconstruction de la province. Ce qui signifie que tous les postes de péages route sont déjà opérationnels notamment à Boh et Dussu.
Par ailleurs, le ministre provincial des finances François-Xavier Kubele Nesele attire l’attention des contrevenants à cette mesure car , a-t-il martelé, ils seront passibles aux pénalités.
«Lors de la signature de ce protocole d’accord,il a été dit ceci : qu’il n’y aie plus des marches,des journées villes-mortes,des destructions méchantes ,des incendies,tout ça,tout le monde s’est mis d’accord en signant ce document ici .je crois que tout le monde qui est responsable doit se conformer à cela, finies les destructions méchantes», a-t-il précisé
Ainsi, invite-t-il les opérateurs économiques à recevoir dès ces jours les agents de la direction générale de recettes du Haut-Uele, DGRHU et payer leurs taxes et impôts dûs à la province pour pour la reconstruction de cette de cette province.
Il faut signaler que depuis la signature du protocole d’accord, les agents de la DGRHU éprouvent d’énormes difficultés dans la perception des taxes et impôts dûs à la province.
Par conséquent, les routes se dégradent de plus en plus et la province dit ne pas avoir les moyens de les entretenir.
La rédaction