Les victimes de Meges et Bandayi en connivence avec les organisations des sociétés civiles disent s’indigner de ce qu’ils qualifient de politisation de leur dossier malgré la descente de plusieurs délégations dont le gouvernement central,des élus nationaux,du caucus des députés provinciaux ainsi que du gouvernement provincial pour cette cause qui date d’environ deux ans.
Dans une déclaration rendue publique jeudi 12 Décembre 2024 dont la rédaction de laclocherdc.net dispose d’une copie, les organisations de la société civile du territoire de Watsa et le comité des victimes de MÈGE fustigent la démarche du caucus des députés provinciaux notamment Françoise Azaro Kani,Me Bismick Boele Losomia qui fut mandataire en mine de KGM, Me Ombeni Kavunga Placide coordonnateur de l’organisation des droits humains(CPDH),qui entêteraient les victimes de ne pas accepter la proposition du gouvernement provincial dans le but d’attendre quelque chose au près de la société kibali gold mine.
Dans la teneur de cette déclaration, ces élus sont accusés de «remettre le processus à zéro» malgré la maîtrise de ce dossier.
A ce sujet l’opinion qui analyse de près ou de loin cet état de chose qui regrette qu’après la mission de ce caucus n’aie pû aboutir ne fût-ce qu’à une question orale avec débat à l’assemblée provinciale.
Signalons ici que, pendant que le gouvernement provincial se bat bec et ongles et ne trouve pas le temps de mettre ses deux oreilles sur le lit pour trouver solution à ce problème,il est étonnant de voir,les gens qui devraient l’accompagner dans ce processus,lui mettre le bâton dans les roues.Jusqu’à l’heure où la rédaction de laclocherdc.net accouche ces lignes,tous les efforts pour entrer en contact avec les députés provinciaux cités dans ladite déclaration n’ont pas abouti.
Magloire Vyavu à Durba